La compréhension du besoin

Fiançailles
Le plan stratégique 2024-2027 met l'accent sur la vision du CAEC, qui vise à doter les peuples autochtones des capacités nécessaires pour évaluer, surveiller et gérer les effets cumulatifs sur leurs terres, leurs eaux et leurs communautés. Ses principaux piliers stratégiques comprennent le renforcement des capacités et la formation, le réseautage et le partage d'informations, ainsi qu'une attention particulière portée à la gouvernance pour assurer la durabilité à long terme.
Planification
Le plan stratégique 2021 – 2024 du CAEC a été élaboré sur la base d’une série de tables rondes de 2018 à 2019, et des discussions tenues lors du Forum Autochtone sur les effets cumulatifs en février 2020. Ce plan stratégique triennal a également été alimenté par des consultations avec le conseil d’administration et le bureau national du CAEC.
Leadership
Nous avons accueilli en juin 2020 Leea Litzgus, notre première directrice générale. Mené par la directrice générale avec l’orientation du conseil d'administration, le CAEC poursuit son évolution et sa croissance en tant que communauté d'expertise et de collaboration unique et spécialisée soutenant les Autochtones maintenant et dans l’avenir.
Communauté
En février 2020, le Forum autochtone sur les effets cumulatifs a eu lieu à Calgary en territoire des Pieds-Noirs. Cet événement inaugural unique a réuni des détenteurs de connaissances des Premières Nations, des Inuits et des Métis, accompagnés de différents praticiens, qui ont partagé de l’information, des pratiques exemplaires, des leçons tirées, des enseignements et des préoccupations entourant la gestion des effets cumulatifs sur les terres et les communautés autochtones.
Gouvernance
Le Centre autochtone sur les effets cumulatifs (CAEC) a été légalement constitué à titre d’organisme à but non lucratif en novembre 2019 et son conseil d'administration provisoire maintenant à la barre est en train de mettre en place ce centre d'expertise indépendant.
Soutien
En 2018, le gouvernement fédéral a aidé à former un groupe spécialisé de praticiens autochtones et non autochtones chargés de réfléchir à la gouvernance et à la raison d’être d’un futur centre d'expertise autochtone sur les effets cumulatifs.