
L’CAEC publie son premier rapport annuel
Bonjour collègues et amis du CAEC,
C’est avec un grand plaisir que j’annonce la publication du premier rapport annuel du Centre autochtone sur les effets cumulatifs (CAEC). Il couvre cette dernière année exceptionnelle, mais aussi la croissance globale depuis que le CAEC a été constitué en novembre 2019.
Grâce au Centre, nous avons une occasion extraordinaire de partager les connaissances et les pratiques exemplaires et de constituer des réseaux pour contribuer à créer un environnement sain pour les générations futures.
Notre approche à double perspective, qui respecte et équilibre les systèmes de savoir autochtone et non autochtone, profitera aux personnes et aux êtres vivants avec lesquels nous partageons nos terres pour les années à venir.
Nous sommes fiers de nos réalisations et de notre croissance. Au cours des deux dernières années et demie, nous avons élargi notre conseil d’administration et notre comité consultatif technique, recruté une petite équipe talentueuse, et élaboré des outils pour aider les communautés des Premières Nations, des Inuits et des Métis à entreprendre des travaux sur les effets cumulatifs dans leurs territoires.
La création d’un Répertoire des connaissances, de documents d’orientation, d’une carte interactive des praticiens du domaine des effets cumulatifs, de conférences virtuelles et de notre programme de financement communautaire ne sont que quelques-unes de nos réalisations. En outre, au cours de l’année, nous avons procédé à une évaluation des besoins nationaux qui a permis de déterminer les besoins et les lacunes en matière de capacités communautaires. Cette évaluation alimentera notre plan stratégique et nous guidera dans les années à venir.


Je suis vraiment fière du travail que notre petite équipe a accompli.
Selon notre vision, tous les peuples autochtones ont la capacité et la possibilité d’évaluer, de surveiller et de gérer les effets cumulatifs qui se produisent sur leurs terres, dans leurs eaux et dans leurs communautés. Nous avons hâte de voir ce que l’avenir nous réserve et de continuer de transmettre les connaissances liées au renforcement des approches communautaires quant à l’évaluation, la surveillance et la gestion des effets cumulatifs, ancrer dans les cultures autochtones, et ce, pour appuyer dans l’atteinte de leur bien-être et l’amélioration de leurs processus de prise de décisions.
Je tiens à dire Chi Miigwetch à notre conseil d’administration, au comité consultatif technique et à nos partenaires pour leur soutien, leurs connaissances et leurs conseils continus.
Cordialement,
Leea Litzgus
Directrice générale